VIRTUAL SKIPPER 2









 

LE DEFI AREVA



Virtual Skipper 2 bénéficie de la licence mondiale "Le Défi- America's Cup" et intègre dans le jeu version française, les bateaux du DEFI AREVA, FRA 69 et FRA 79,
qui vont courir l'America's Cup 2002-2003.
 
 

Le DEFI AREVA est tout entier tourné vers un seul et même objectif :
gagner l'America's Cup. Il s'agit d'un objectif majeur, ambitieux, qui exige
de réunir les meilleures compétences au sein d'un projet de long terme.

Depuis août 2002, l'équipe est au complet sur sa base à Auckland.
Ses membres, soutenus au quotidiens par les partenaires et
les constructeurs engagés dans cette formidable aventure de conquête,
travaillent d'arrache pieds avec une seule idée en tête :

comment être chaque jour plus forts, plus innovants, plus efficaces et plus performants.

Pour en savoir plus : www.ledefi.com

 

MELGES 24




Virtual Skipper 2 intègre dans le jeu le bateau Melges 24.
Monotype international ISAF de 7.50 mètres de long au déplacement ultra léger de 800 kgs, le Melges 24 est devenue en peu d’années la référence de ce qui se fait de mieux comme monotype de sport. Le bateau mené par 4 ou 5 équipiers est une véritable formule 1 des mers avec des pointes à plus de 20 nœuds, grâ à son spi asymétrique et l’usage du carbone. Un accastillage moderne et simple rend son utilisation et les manœuvres faciles pour les équipages les plus novices et d’une efficacité lorsqu’il s’agit de lutter bord à bord.

Toutes ces caractéristiques et une organisation de la classe à travers une association de propriétaires dynamique a permis à la flotte mondiale de dépasser 500 unités de compter parmi les habitués du circuit Melges des champions nés venant de tous horizons de la voile depuis les coureurs des grands multicoques océaniques ’aux dériveurs olympiques. Les championnats sont un véritable annuaire titres plus enviés de ces 50 dernières années.

La série a connu un développement ultra rapide puisque les derniers championnats du monde regroupaient 15 nations et plus de 120 équipages.

En France, le Melges 24 est depuis 2001 la seule série de bateau à quille participant aux championnats de France de voile olympique et sportive de la Fédération Française de Voile et avec une flotte de 80 bateaux la première en Europe.

Pour en savoir plus : www.melges24.com

 

LOÏCK PERON, « l’artisan » surdoué



Fan de Virtual Skipper 1, Loïck Peyron a souhaité supporter Virtual Skipper 2.
Présent sur la production du jeu, il a pu conseiller l’équipe de développement afin d’obtenir une simulation vraiment réaliste du trimaran Open 60.

A 42 ans, le skipper baulois affiche un palmarès qui pourrait se suffire à lui-même…
Mais l’homme n’est pas de ceux que l’on réduit à une litanie de résultats, si brillants soient-ils. Marin inspiré, passionné de technique, il a sans doute écrit les plus belles pages de l’histoire du Championnat des Multicoques.

De tours du monde en régates amicales en Baie de Quiberon, Loïck Peyron promène sa bonne humeur et son sens de l’humour sur les pontons depuis plus de vingt ans…
Vingt années au cours desquelles il aura remporté les courses les plus prestigieuses qui soient, rejoignant notamment Eric Tabarly en réalisant, à l’instar de son illustre aîné, le doublé dans la Transat Anglaise en solitaire… Sans oublier le sauvetage émérite de Philippe Poupon lors du premier Vendée Globe, ses victoires – record à la clef – dans Québec / Saint Malo ou le Fastnet, et naturellement ses quatre titres de Champion ORMA, en 1995, 1996, 1997 et 1999.

Car entre Loïck et le multicoque 60’ Open, les succès s’enchaînent depuis 10 ans, depuis ce jour de 1992 où il a « hérité » de Fujicolor II, précédemment skippé par Mike Birch, son « maître Jedi », comme il se plaît à l’appeler. C’est un fait incontestable, Loïck est passé maître dans l’art subtil de mener les machines surpuissantes que sont les multicoques modernes – une discipline qui, selon sa propre formule, consiste à « faire tenir à l’endroit des engins qui sont naturellement stables à l’envers ». Faire « avancer » le bateau, dans tous les sens du terme… car lorsqu’il n’exerce pas sur l’eau, il met à profit son expérience et sa curiosité des choses techniques pour améliorer sans cesse sa monture. « Je me considère comme un artisan », dit-il. Un artisan affûtant ses outils avant de se mettre au travail, aussi survolté au chantier qu’entre trois bouées. Fruit de sa grande expérience, cette compétence technique découle également de sa façon de naviguer.

Car comme le disait Franck Proffit, qui fût son fidèle bras droit durant de nombreuses années, « Loïck marche énormément au feeling, il sent le bateau sous les fesses, sous les pieds, dans les mains ». Est-il plus bel hommage que celui d’un marin à un autre ?

Contact : Catherine Giry Devaux c.girydevaux@wanadoo.fr